Toutes les informations concernant Curiosités de l' île de l'île de Saint Barthélemy
Domaine Félicité

Arlette, son frère Alain Magras, ainsi que leur équipe. Au fil de la visite, vous serez plongés dans le passé depuis l’époque suédoise ; chaque pièce regorge d’archives et d’objets anciens datant de traditions ancestrales et du patrimoine de St Barthélemy.
Puis, vous aurez le plaisir de déambuler dans un magnifique jardin tropical, créé par Alain, où vous pourrez admirer des plantes aromatiques, médicinales et ornementales originaires de l’île.
Hôtel de la Collectivité

La Maison Dinzey

(le Brigantin)
Cette maison construire entre 1822 et 1860, est l’une des rares rescapées du grand incendie du 2 mars 1852. Elle est en très bon état, à l’intérieur comme à l’extérieur, grâce à une restauration soignée entreprise par son propriétaire actuel qui est aussi Consul Honoraire de Suède. Cette maison est connue aussi sous le nom du “Brigantin”
(restaurant dans les années 1980).
La Maison du Gouverneur (Ancienne Mairie)
La Maison du Juge
La Maison du Major de la ville
La Maison en brique

L'Ancre

La Place de la Rétrocession
Cette place baptisée en août 2000, portait initialement le nom de “Place du Bicentenaire”. Elle rappelle un événement majeur de l’histoire de Saint-Barthélemy : le rétrocession de l’île à la France, après 3 années passées en tant que possession de la Couronne Suédoise.
La Place Vanadis

L'Arawak

La Sous-Préfecture

C’est au début des années 1800, que débute la construction de ce robuste bâtiment en pierre qui devait être la première école de l’île, mais qui sera utilisé comme lieu de rencontre pour des réunions, des fêtes et des galas. En 1819, le sous-sol devient la prison locale, sert quelquefois d’école ou de cantine scolaire au cours du siècle dernier. Depuis 1975 il abrite les services préfectoraux, siège de l’Etat Français à St-Barthélemy.
Le Clocher suédois

Le Fort Gustaf

Ce fort, construit sur les ruines d’un fort lui-même édifié par les français à la fin du 17e siècle, est le plus important de Gustavia pendant la période suédoise. On y trouvait une caserne, un poste de garde en pierre pour une douzaine d’hommes, une baraque en bois. Vers la fin de la période suédoise, la batterie tombe en ruine et de ce Fort Gustaf, ne subsiste aujourd’hui que la partie en pierre du corps de garde et les citernes à l’arrière de la station météo, quatre canons dont deux, au pied du phare, sont en fibre de verre, et deux autres prêtés par le musée maritime de Kariskrona (Suède)depuis décembre 2011, situés près de la station météo. Ces canons rappellent l’époque où Gustavia était une ville fortifiée. En 2004, la station météo est rebaptisée “Espace Météo Caraïbe” offrant un espace-musée météorologique. En 2015, la station météo devient “Espace Gustaf III”, dédié désormais au passé suédois et à l’amitié franco-suédoise.
Le Fort Karl
Vous voilà sur ses ruines. Le fort porte le nom du frère du roi Gustav III, le Duc Karl. Cette batterie de défense peu impressionnante, se composait de deux canons d’une charge de quatre livres de poudre. Une petite guérite abritait la milice de la ville en 1809, mais elle disparut rapidement. En 1844, on rapporte qu’il n’y avait ni mât pour le drapeau ni aucune autre construction. Il ne reste aujourd’hui que quelques pierres, vestiges d’une poudrière ainsi que des emplacements pavés. Sa rénovation date de 2011.
Le Fort Oscar

Le fort Oscar abritait autrefois les services d’écoute de la DGSE, le service de contre-espionnage français. Il accueille aujourd’hui la brigade de la gendarmerie. Le bâtiment est fermé au public, mais vous pourrez facilement l’observer, dans les hauteurs du port de Gustavia.
L'Eglise Anglicane

L’Eglise Anglicane fut construite de 1853 à 1855. C’est une église de petite taille, ses murs sont construits en pierre locale, excepté la façade face au port, qui est faite de pierres calcaires. Le toit, à l’origine couvert de bardeaux de bois (essentes) est désormais en tôle ondulée. Le petit clocher décoratif a gardé son toit de bardeaux comme autrefois.
L'Eglise Catholique

Grâce à une restauration très soignée en 2006, l’église a retrouvé sa beauté originelle. A côté se trouve un bâtiment qui abritait la salle paroissiale. Cédé à la Collectivité par l’évêché, c’est désormais le Théâtre du Paradis qui accueille des spectacles et des activités artistiques.
De l’autre côté de la rue, ont été réalisées, en l’honneur de la soeur Armelle décédée en 1947, une chapelle funéraire, et une rotonde pour le Sacré Coeur en l’honneur des marins de Saint- Barthélemy. Sur la pente derrière l’église se trouvent le presbytère et le clocher. Ce dernier est construit à part, sur la colline, afin d’éviter d’endommager l’église en cas de chute des clochers lors d’un cyclone, mais aussi pour que celles-ci soient entendues de partout dans la ville.
Le Phare de Gustavia

Le Port de Gustavia

Le Presbytère Luthérien
Le Presbytère Suédois

Construit pour le premier pasteur suédois à la fin du XVIIIème siècle, ce presbytère fut ensuite la demeure du médecin et géomètre, Samuel Fahlberg. Après le cyclone de 1819, il devint une école mixte pour enfin devenir un restaurant.
Les Cases à vent

Les Salines

Trois siècles d’exploitations du sel donnent à ce lieu un paysage particulier et magique ! Dès l’acquisition de l’île par l’Ordre de Malte en 1651, le sel devient une des activités économiques. Mais en 1972, la récolte s’arrête… Aujourd’hui, vous pouvez encore apercevoir des sculptures naturelles de sel, où les oiseaux d’eau douce viennent nicher. Mais la belle histoire ne s’arrête pas là ! Récemment, l’un des descendants des exploitants de sel a décidé de relancer la récolte, honorant ainsi la mémoire de sa famille. Il souhaite redonner vie à cette importante tradition locale.
Le Wall House

Tombe de Johnny Hallyday
